Qu'est ce que l'IoT ?

Qu'est ce que l'IoT ?

Definition IoT (Internet of Things)

L’IoT (Internet of Things, pour Internet des Objets) est un système d’interconnexion entre des dispositifs informatiques, des machines, des objets, des animaux et même des personnes, munies d’identifiants uniques (UID) avec la capacité de transférer des données sur un réseau. Et ce, sans interaction d’humain à humain ou d’humain à ordinateur.

Globalement, il s’agit de tout « objet » naturel ou artificiel auquel on peut attribuer une adresse IP et qui peut transférer des données sur un réseau. Avec plus de 7 milliards de terminaux IoT connectés aujourd’hui, les experts s’attendent à ce que ce nombre passe à 22 milliards d’ici 2025. De plus en plus d’entreprises, quelque soit le secteur, utilisent l’IoT pour fonctionner plus efficacement et mieux comprendre leurs clients, afin d’offrir de meilleurs services. Mais aussi pour améliorer la prise de décision et accroître la valeur de l’entreprise.


L’histoire de l’IoT

C’est lors d’une présentation faite à Procter & Gamble, en 1999, que Kevin Ashton, co-fondateur de l’Auto-ID Center au MIT, a mentionné pour la première fois l’Internet des Objets. Il souhaitait attirer l’attention des directeurs de P&G sur les puces RFID (identification par radiofréquence). Cependant, il a nommé sa présentation « Internet of Things » pour intégrer la nouvelle tendance de l’année : Internet. Toutefois, l’idée d’appareils connectés existe depuis les années 1970. Ainsi, le premier objet connecté était une machine à Coca, à l’Université de Carnegie Mellon, au début des années 1980.

Via le Web, les développeurs pouvaient vérifier l’état de la machine, et déterminer si une boisson froide était disponible pour eux. L’IoT a ensuite évolué avec des technologies sans fil (Wifi par exemple), des MEMS (systèmes microélectromécaniques), des microservices et d’Internet. Ainsi, la technologie opérationnelle (OT–Operational Technology) et la technologie de l’information (IT) se sont rapprochées. Ceci a permis d’analyser des données non structurées, générées par des machines, pour en tirer des axes d’amélioration.

L’Internet des Objets utilise comme base la connectivité M2M (Machine to Machine). C’est-à-dire que des machines se connectent entre elles, via un réseau, sans interaction humaine. L’IoT est donc un réseau de milliards de capteurs , qui connectent des personnes, des systèmes et d’autres applications pour collecter et partager des données. Néanmoins, le concept d’écosystème de l’Internet of Things ne s’est concrétisé qu’au milieu des années 2010. Une avancée que l’on doit au gouvernement chinois, qui a déclaré qu’il ferait de l’IoT une priorité stratégique, notamment dans sa stratégie de reconnaissance faciale et de fichage du peuple chinois.


Comment fonctionne l’Internet des Objets ?

Un écosystème IoT est constitué de dispositifs intelligents compatibles avec le Web. Ils utilisent des processeurs, des capteurs et du matériel de communication intégrés. Cela leur permet d’envoyer et de collecter des données, mais aussi de traiter celles qu’ils acquièrent dans leur environnement. Pour cela, ils se connectent à une passerelle IoT ou à un autre dispositif. Quant aux données, elles sont soient envoyées vers le cloud, soit analysées localement.

Tous ces dispositifs communiquent ensemble et agissent en fonction des informations qu’ils obtiennent les uns des autres. Ils exercent la plupart du travail sans intervention humaine, bien que les opérateurs puissent interagir avec eux, notamment pour les installer, leur donner des instructions ou accéder aux données. Quant à la connectivité, la mise en réseau et les protocoles de communication utilisés, ils dépendent des applications IoT spécifiques déployées.


Pourquoi l’Internet of Things (IoT) est-il si important ?

Ces quelques dernières années, l’IoT est devenu l’une des technologies les plus importantes du 21ème siècle. Maintenant que nous pouvons connecter des objets du quotidien (appareils électroménagers, voitures, thermostats, interphones bébés) à Internet par l’intermédiaire de terminaux intégrés, des communications sont possibles en toute fluidité entre les personnes, les processus et les objets.

Grâce à des traitements informatiques peu coûteux, au cloud, au Big Data, à l'analytique et aux technologies mobiles, les objets physiques peuvent partager et collecter des données avec un minimum d’intervention humaine. Dans ce monde hyperconnecté, les systèmes digitaux peuvent enregistrer, surveiller et ajuster chaque interaction entre les objets connectés. Le monde physique rencontre le monde digital, et ils coopèrent.


Quelles sont les technologies qui ont rendu l’IoT possible ?

Bien que l’idée de l’Internet of Things soit loin d’être nouvelle, c’est un ensemble de progrès récents de différentes technologies qui a permis de le concrétiser.

- Accès à une technologie de capteurs à coût réduit et faible consommation. Des capteurs fiables et abordables rendent possible la technologie IoT pour un plus grand nombre d’industriels.

- Connectivité. La prolifération des protocoles réseau pour Internet a facilité la connexion des capteurs au cloud et à d’autres « objets » pour un gain d’efficacité des transferts de données.

- Plates-formes cloud. La disponibilité accrue des plates-formes cloud permet aux entreprises et aux consommateurs d’accéder à l’infrastructure dont ils ont besoin pour évoluer, sans pour autant avoir à s’occuper de sa gestion.

- Machine learning et analyses. Grâce aux progrès effectués dans les domaines du machine learning et des analyses, et avec l’accès à de vastes quantités de données diversifiées stockées dans le cloud, les entreprises obtiennent des informations plus rapidement et plus facilement. L’émergence de ces technologies associées continue à repousser les limites de l’IoT, et les données produites par l’IoT viennent à leur tour renforcer ces technologies.

- Intelligence artificielle (IA) conversationnelle. Les progrès effectués en matière de réseaux neuronaux ont permis aux terminaux IoT de gérer le traitement du langage naturel (avec notamment les assistants digitaux personnels tels qu’Alexa, Cortana et Siri), et les ont rendu attrayants, abordables et viables pour une utilisation domestique.

 

Qu’est-ce que l’IoT industriel ?

L’Internet of Things industriel (Industrial IoT - IIoT) désigne l’application de la technologie IoT dans un cadre industriel, en particulier en ce qui concerne l’instrumentation et le contrôle des capteurs et des terminaux qui font appel à des technologies cloud. Depuis peu, les industries utilisent la communication de machine à machine (M2M) pour bénéficier des fonctionnalités d’automatisation et de contrôle sans fil. Cependant, avec l’émergence du cloud et des technologies associées (telles que l'analytique et le machine learning), les industries peuvent accéder à une nouvelle couche d’automatisation, à l’aide de laquelle ils peuvent générer de nouveaux revenus et créer de nouveaux business models. L’IIoT est parfois appelé quatrième vague de la révolution industrielle, ou Industrie 4.0. L’IIoT est couramment utilisé dans les activités suivantes :

- Production intelligente

- Actifs connectés et maintenance préventive et prédictive

- Réseaux électriques intelligents

- Villes intelligentes

- Logistique connectée

- Supply chains digitales intelligentes

Prenons l'exemple du cycle de vie des machines de chantier utilisées sur un site de construction. Plusieurs ouvriers se servent d'un même équipement et l'usent de diverses manières au fil du temps. Il est donc prévisible et prévu que les machines finissent par tomber en panne pour une raison ou une autre. Il est toutefois possible d'ajouter des capteurs spéciaux aux éléments les plus sujets aux défaillances ou les plus sollicités des machines. Ces capteurs peuvent être utilisés pour la maintenance prédictive, afin de renforcer les compétences humaines (exemple de collecte et d'analyse en temps réel des données) et de transmettre des informations aux ingénieurs en vue d'améliorer les nouveaux modèles (exemple d'analyse de données à long terme).

Sécurité et protection de la vie privée

L’IoT connecte des milliards d’appareils à Internet. Il implique l’utilisation de milliards de points de données, qui doivent tous être sécurisés. Ainsi, la sécurité de l’IoT et la confidentialité sont des préoccupations majeures. En 2016, le botnet Mirai a infiltré le fournisseur de serveurs de noms de domaine Dyn, via des dispositifs IoT mal sécurisés. Lors de cette attaque DDoS (Distributed Denial-of-Service, pour déni de service distribué) majeure, il est parvenu a détruire de nombreux sites Web.

Tout ce qu’un hacker doit faire, c’est exploiter une vulnérabilité pour manipuler toutes les données. Et les fabricants qui ne maintiennent pas leurs appareils à jour régulièrement les rendent vulnérables aux cybercriminels. De plus, les appareils connectés réclament les informations personnelles de leurs utilisateurs. Notamment leurs noms, âges, adresses et numéros de téléphone. Mais aussi de connecter leurs comptes de réseaux sociaux.

Ces informations sont inestimables pour les pirates, qui ne sont pas la seule menace pour l’Internet des Objets. La protection de la vie privée en est une autre. Les entreprises qui fabriquent et vendent ces appareils peuvent obtenir et vendre les données personnelles de leurs utilisateurs. Au-delà des fuites de données, l’IoT représente une menace pour les infrastructures essentielles, comme l’électricité, les transports ou encore les services financiers.


Internet of Things : les secteurs d’activités qui en bénéficient

Particuliers, bâtiments intelligents et sécurité publique

Dans le segment des consommateurs, on peut citer les maisons intelligentes avec la domotique. Elles sont équipées de thermostats, d’appareils électroménagers, de chauffage, d’éclairage ou encore d’appareils électroniques intelligents. Ils peuvent tous être connectés et commandés à distance, via des ordinateurs, smartphones et autres appareils mobiles. Les bâtiments intelligents peuvent même réduire les coûts énergétiques grâce à des capteurs qui détectent le nombre d’occupants d’une pièce.

Du côté de la sécurité publique, des dispositifs portatifs permettent d’améliorer les délais d’intervention des permiers secours, en cas d’urgence, lors d’incendie par exemple ou lors d’une crise cardiaque d’une personne portant in pace maker. ou encore grâce à des itinéraires optimisés pour l’intervention des policiers ou du SAMU. Ou encore en suivant les signes vitaux des travailleurs de chantier ou des pompiers, sur des sites où leur vie est en danger. Dans le domaine de la santé, l’IoT permet de suivre les patients de plus près.

Hôpitaux, smart cities et entreprises

Les hôpitaux les utilisent aussi pour la gestion des stocks de produits pharmaceutiques et les instruments médicaux. En agriculture, l’Internet des Objets permet, par exemple, de surveiller la luminosité, la température, le taux d’humidité dans l’air et dans les sols des champs cultivés. Dans une smart city, ou ville intelligente, l’IoT se déploie à travers les réverbère intelligents et des compteurs intelligents. Ils permettent notamment de réduire la circulation et améliorer l’assainissement. Mais aussi réaliser des économies d’énergie et répondre aux préoccupations environnementales.

Pour les organisations, l’Internet des objets offre de multiples avantages, comme améliorer l’expérience client. Mais aussi, surveiller l’ensemble de leurs processus opérationnels, intégrer et adapter des modèles commerciaux et prendre de meilleures décisions. Ou encore améliorer la productivité des employés, économiser du temps et de l’argent, et générer plus de revenus. Globalement, l’IoT encourage les entreprises à repenser la manière dont elles abordent leurs activités, leurs industries et leurs marchés. Et il leur donne les outils nécessaires pour améliorer leurs stratégies commerciales..

Agriculture, Transport et logistique

Les systèmes de transport et de logistique bénéficient d’une grande diversité d’applications IoT. Les parcs de voitures, camions, navires et trains qui transportent du stock peuvent être réacheminés en fonction des conditions météo, ou encore de la disponibilité des véhicules ou des chauffeurs grâce aux données issues des capteurs IoT. Le stock lui-même peut également être muni de capteurs en vue de son suivi, ou à des fins de contrôle de température. Les secteurs agro-alimentaire, floral et de l’industrie pharmaceutique transportent souvent un stock sensible aux variations de températures. Ceux-ci bénéficierait largement d’applications IoT de contrôle qui envoient des alertes lorsque les températures augmentent ou baissent à un niveau dangereux pour le produit.

IoT dans l'agriculture est une révolution pour le monde agricole à plusieurs niveaux, notamment avec l'utilisation de capteurs d'humidité. En installant ces capteurs dans leurs champs, les agriculteurs reçoivent désormais des données plus précises qui leur permettent de déterminer les meilleures périodes d'irrigation. Les capteurs d'humidité peuvent également être connectés aux applications IoT qui contrôlent les systèmes d'irrigation : l'arrosage est alors déclenché automatiquement à partir des données issues des capteurs.

 L’IoT chez SkyVue

Nous nous servons de l’IoT à travers l’utilisation des drones équipés de capteurs pour numériser des sites. En quelques heures, des drones connectés grâce à des capteurs permettent de mesurer les distances réelles, sauvegarder les données (données visuelles, données de gravures etc.) et reconstruire des images de qualité pour ensuite étudier l’évolution du site à travers le temps. Ils alors sont capables d’explorer et de signaler des endroits qui peuvent être inaccessibles par d’autres moyens. Dans un contexte IoT, un drone peut agir comme un capteur mobile pour collecter des données et les relayer vers une application cloud ou un autre service d’analyse. Les drones peuvent également être utilisés comme dispositifs d’inspection à distance pour aider à maintenir les points de terminaison IoT et d’autres composants. 

 

Quel avenir pour l’Internet des Objets ?

Selon de nombreux cabinets de conseil, l’avenir du marché de l’IoT reste florissant, malgré les préoccupations qu’il soulève. Ainsi, Bain & Company s’attend à ce que le chiffre d’affaires annuel du secteur dépasse 450 milliards de dollars d’ici 2020, tandis que Gartner prévoit 20,8 milliards d’objets connectés à la même échance. Le cabinet IHS Markit estime quant à lui que le nombre d’objets connectés augmentera de 12% par an, pour atteindre 125 milliards en 2030. Enfin, McKinsey & Company estime que l’IoT aura un impact de 11,1 billions de dollars d’ici 2025. En somme l’IoT a encore un bel avenir devant lui.

 

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FOCUS SUR LES METIERS D'AVENIR : Devellopeur Full Stack.
FOCUS SUR LES METIERS D'AVENIR : Devellopeur Full Stack.

Développeur FULL STACK.   Développeur full stack qu’est-ce que c’est ? Le développeur full stack est un développeur touche-à-tout et complet, qui travaille à la fois côté Backend et Frontend. Le front-end est responsable de l'aspect visuel du site Web, tandis que le back-end est responsable de la logique et de l'infrastructure du site. Il connaît toute la chaîne de développement d’un logiciel ou d’un site web et est à l’aise avec plusieurs langages et technologies.Par définition, être « full stack » signifie travailler sur « toute la stack ». Par extension, on peut dire que le développeur fullstack réalise ce que plusieurs développeurs front-end et back-end font en équipe.Ses connaissances vis-à-vis de l’ensemble des couches de la stack technique, de la pile de technologie d’un projet, lui permettent de créer un site ou une app de A à Z.   Quelles sont les missions d'un develeppeur Full Stack : Un Développeur Full Stack doit d’être généraliste. Il peut être amené à travailler sur chaque étape de création d’un site ou d’une application : du développement à la production. Le front-end fait référence à tout ce que peut voir un utilisateur lors de l’utilisation d’un site et peut être développé via des frameworks tels que Angular ou Vue.js. Un Développeur Full Stack est aussi capable de développer le back-end d’un site, soit la partie “cachée”. Elle n’est pas visible du grand public et regroupe, entre autres, les bases de données ou les calls API (Application Programming Interface).Un Développeur Full Stack est donc compétent dans tous les domaines de développement et participe à la création et à la maintenance d’un site ou une application. Le développeur full-stack a pour principale mission la programmation d’une application ou d’un site : il est à même de le concevoir de A à Z (création, développement, codage, etc.). Il a des compétences dans tous les domaines : back-end, front-end, UX/UI, architecture… Ce profil est donc très prisé des start-ups, où le nombre d’employés est limité et où un profil polyvalent est particulièrement apprécié. Ce profil généraliste permet donc d’intervenir sur des missions diversifiées et à différents niveaux dans la conception du site, soit en globalité, soit sur certains aspects précis, tout dépend des besoins de l’entreprise. Il peut jongler entre plusieurs missions faisant intervenir différents outils de programmation au cours d’une même journée. Le développeur full-stack est passionné de code, il a des compétences informatiques poussées ainsi qu’une parfaite maîtrise des langages de programmation et des bases de données. Il maitrise également les notions d’API pour dialoguer avec des sites partenaires. Un dev full stack est vraiment multifonction et sa grande palette de compétences lui permet de s’adapter et d’effectuer toutes les tâches qu’on lui soumettra. C’est pourquoi il peut aussi bien travailler sur de l'intégration de contenu que sur des problématiques backend poussées.Malgré la diversité des missions sur lesquelles il intervient d’un projet à un autre, le dev full-stack doit être capable de s’adapter et de travailler en relative autonomie.A noter : le rôle d’un développeur fullstack et les missions qui lui sont confiées sont souvent différentes d’un poste à l’autre. L’intitulé de poste « développeur fullstack » regroupe de nombreuses compétences potentielles, plus ou moins essentielles et mises en pratique selon les postes.   Quelles sont les compétences requises ? Comme pour tout autre poste de développeur, être autodidacte et savoir se former est un véritable plus pour renforcer ses compétences et rester dans l’air du temps. Pour ce faire, le développeur Full Stack se forme continuellement sur de nouvelles technologies ou langages grâce à des documentations officielles ou des sites Internet avec des tutoriels, articles ou forums tels que Stack Overflow. En raison des nombreuses composantes interdépendantes d’un projet digital, être full stack demande une très bonne organisation, un pragmatisme et une rigueur à toute épreuve.Les technologies et langages principaux à maîtriser sont: ·        JavaScript et un (ou plusieurs) frameworks Js : Angular, Ext.js, Ember.js, Vue.js, React.js… ·        Le pack web classique (HTML, CSS)​ ·        Un ou plusieurs langages de développement back-end : Java, Python, PHP, Go, C#, Ruby…) ·        ​Certains frameworks associés aux langages de développement tels que Symfony ou Laravel pour PHP, Spring ou Hibernate pour Java, Django ou Flask pour Python etc. ·        ​Un système de gestion des bases de données : MySQL, Oracle, PostgreSQL, MongoDB… ·        ​Un outil de gestion de projet en équipe comme github ou gitlab Afin de répondre au mieux aux besoins du client ou de l'employeur, une veille technologique permanente est primordiale : dernières évolutions, changements, nouveaux outils.   Compétences techniques Maîtrise de plusieurs langages: HTML, CSS, JavaScript (front-end) et Ruby, PHP, Python (back-end). Connaissance des technologies pour applications mobiles: IOS et Android. Capacité à appréhender les problématiques liées aux bases de données (SQL). Bonnes connaissances en UX afin de rendre les interfaces web accessibles. Compétences relationnelles Bonne compréhension de l’écosystème d’un projet web et de toutes ses parties prenantes afin de collaborer avec elles. Une excellente organisation pour assurer aussi bien le développement du côté serveur que du côté client. Un bon sens de l’écoute car la collaboration est la clef de son succès.   Quels sont les principaux collaborateurs du Développeur Full Stack ? Bien que très autonome, un dev full stack doit savoir travailler en équipe. Souvent amené à travailler avec d’autres développeurs (Full stack, front-end ou back-end) et il doit donc savoir travailler en équipe. Il collabore également avec des intégrateurs en charge de la partie graphique et design d’un site ou d’une application. Dans des organisations plus petites un Full Stack est souvent encadré directement par un CTO. Dans des entreprises plus grandes, et selon la méthodologie de gestion de projet, un Développeur Full Stack peut être supervisé par un Scrum Master ou un Product/Project Manager. En fonction de la taille de l’entreprise et de l’équipe, il collabore généralement avec les interlocuteurs tels que: Lead developer, développeur frontend ou développeur back-end, Chef de projet ou Product Owner, Webdesigner, CTO, Rédacteur ou intégrateur web, Référenceur SEO, DevOps.   Quelles études ou formations pour devenir Développeur Full Stack ? Comme pour la majorité des métiers du développement informatique, plusieurs formations sont envisageables : formations en ligne, formations courtes en présentiel (1, 3, 6 mois), Bac+2 ou +3 (BTS, DUT, Licence) ou Bac+5 (écoles d’ingénieurs ou masters spécialisés).Nombreux sont les profils autodidactes sur le marché car il est possible d’apprendre et de monter en compétences grâce aux formations en ligne de plus en plus répandues : Udemy ou OpenClassroom par exemple, voire des écoles en ligne telles que Oclock.io qui proposent notamment une formation en développement Full stack JS.Des centres de formation comme La Capsule, Ironhack et d’autres structures à travers la France enseignent aussi des bases en développement web en quelques semaines.S’agissant d’un métier pointu et d’expérience, c’est le niveau et la palette de compétences du dev full stack qui lui donnera des possibilités d’emploi.A noter : les profils Bac +2 à +5 sont les plus recherchés sur le marché pour leurs connaissances théoriques complètes, mais c’est avant tout l’expérience et les compétences qui permettront à un développeur fullstack de trouver un emploi. D’autant plus que les postes sont nombreux et les bons profils plutôt rares. Si il n’existe pas de parcours type, et si les profils autodidactes sont nombreux à ce poste, une formation de l’enseignement supérieur reste un plus. Afin d’acquérir de bonnes bases, des formations Bac +2 (BTS/DUT) ou Bac +3 (Licence) en informatique seront de bons points de départ. Pour un Développeur full stack, le plus important est de maîtriser des langages et frameworks variés afin d’être polyvalent et performant sur les différentes étapes de production. Le développeur internet peut être titulaire d’un bac +2 (BTS, DUT…) ou +3 (licence professionnelle), mais également avoir suivi un cursus dans le domaine de l’informatique et des télécoms en écoles d’ingénieurs ou avoir poursuivi en masters informatique (spécialisation ingénierie des médias numériques, management et système d’information…). Avant d’obtenir ces diplômes, il est possible de commencer à se préparer avec un baccalauréat scientifique ou les enseignements de spécialité « Mathématique » et « Numérique et sciences informatiques ».   Les formations bac+2 Les formations pour devenir « dev » sont multiples. Certains choisiront de faire un: BTS Informatique et réseaux pour l’industrie et les services techniques BTS Services informatiques aux organisations (SIO) parcours solutions logicielles et applications métiers BTS SIO parcours solutions d’infrastructures système et réseau DUT Informatique Les formations bac+3 Les écoles d’ingénieurs offrent également des parcours intéressants. À l’université, une licence pro Informatique, développeur web pour l’entreprise, développeur informatique multisupport ou ingénierie logicielle pour l’internet est aussi approprié. Voici d’autres exemples de formations qui mènent au métier du développement web: Bachelor Développeur Front-End Bachelor Ingénierie du web Bachelor Concepteur d’applications mobile Bachelor Chef de projet Logiciel et Réseaux Licence pro Métiers de l’Internet Licence générale d’informatique Les formations bac+5 Après quelque temps, le développeur peut se spécialiser dans divers domaines : e-marketing, édition en ligne, banque, jeux vidéo, assurance. Ceux à la recherche de responsabilités deviendront chefs de projet technique ou pourront encadrer une équipe de développeurs. Il existe ainsi des cursus tels qu’un: Master Expert of IT Master Chef de projet web Master Développement du SI Master Informatique Master Programme ingénierie informatique MBA Développeur digital Mastère spécialisé informatique MSc informatique   Quelles sont les évolutions professionnelles et perspectives de carrière d'un Développeur Full Stack? Les possibilités d’évolution en tant que Développeur Full Stack sont nombreuses. La plupart de ces promotions mèneront vers des postes de pilotage ou de manager tels que Lead Developpeur, Product Manager, Head of Digital, Architecte Technique ou bien même CTO. Ses nombreuses compétences techniques et son ouverture sur la partie business et marketing lui permettent d’exercer des postes variés.   Quels sont les principaux secteurs d'activités et employeurs d'un Développeur Full Stack? Les développeurs full stack sont très recherchés, principalement dans les startups où la polyvalence est appréciée. Les meilleurs profils, expérimentés, sont les plus rares et certains profitent de leur expertise pour se lancer en freelance.En tant que développeur fullstack, il est possible de travailler dans différents types d’entreprises : agence web, Pureplayer, PME, DSI au sein d’un grand groupe etc.D’un point de vue organisationnel, il n’est pas rare qu’une équipe technique soit constituée de développeurs backend, de développeurs frontend et d’un ou plusieurs développeurs fullstack assurant la liaison.Tous types de secteurs d’activités sont également envisageables pour exercer le métier de développeur fullstack : greentech, edtech, medtech… le choix est large.   Quel est le salaire d'un Full Stack développeur ? Le métier est relativement jeune et rémunérateur, aussi, le salaire d’un junior dépendra notamment de ses compétences, de la largeur de son périmètre de responsabilités, du type d’employeur, du secteur de l’entreprise, de sa localisation etc.La fourchette de rémunération d’un développeur fullstack junior est généralement de 30k€ à 45k€ par an en France contre 3M300k FCFA à 4M920k FCFA par an au Cameroun.Un profil senior peut prétendre quant à lui à des salaires allant de 55k à 75K€ par an en France contre 8M712k à 17M544k FCFA au Cameroun.Le salaire varie beaucoup en fonction de la taille l’entreprise, des connaissance acquises et de l’experience. À l’international:  Aux États-Unis, le salaire d’un Développeur Full Stack varie entre 8000$ et 12500$ brut par mois selon l’expérience et les langages maitrisés.   Quels sont les autres intitulés du poste de Développeur Full Stack? Les synonymes de « développeur Fullstack » sont nombreux et apportent parfois des précisions quant à l’employeur, aux compétences demandées, aux technologies utilisées etc. Par ailleurs, différentes orthographes sont apparues au fil du temps, pour francisé ou simplifier l’écriture du métier de « développeur full stack »: Ingénieur full stack Développeur « Full-stack » ou “Full stack” Développeur informatique fullstack Développeur PHP / Vue.js Développeur web fullstack Ingénieur développeur full stack Js Ingénieur d'études et développement fullstack Programmeur informatique full stack Concepteur développeur full stack

Présentation de SkyVue Capture
Présentation de SkyVue Capture

SKYVUE CAPTURE C’EST QUOI ? SkyVue Capture est un outil complémentaire à l’application SkyVue Access. Elle permet de Capturer facilement des données n'importe où sur un site de construction du sol  jusqu’au plafond de manière rapide et simple. Elle permet aux ouvriers présents sur un chantier de prendre les données nécessaires au suivi du projet afin que le propriétaire du chantier puisse les consulter à tout moment et évaluer l’état d’avancement de son bâtiment. SkyVue Capture a été conçu grâce à une technologie de pointe pour garantir simplicité, maniabilité et fiabilité.                                                                                                  SKYVUE CAPTURE COMMENT ÇA MARCHE? L’application Capture est conçue pour être utilisée principalement par les professionnels présents sur un chantier. Elle leur permet de prendre des photos de qualité, des images 360, des vidéos et des mesures. Comment ? Tout d’abord l’ouvrier ou chef de chantier doit télécharger l’application et se connecter. Une fois dans l’application il y retrouvera des projets créés avec leur plan et tags ajoutés en amont par le porteur de projet ou notre équipe sur la plate-forme SkyVue Access. Il n’aura alors qu’à entrer dans un tag et renseigner les données. (Photos, 360, vidéos, mesures : il s’agit ici des mesures du sol, des murs et des différentes ouvertures ) SkyVue Capture est dédié à la collecte des données par des ouvriers sur le terrain et uniquement sur le terrain parce que les données ne peuvent être prise que si la personne chargée de faire les capture se trouve hors de la zone du chantier.                                                                                          LES DOMAINES D’INTERVENTIONS DE SKYVUE ACCESS SkyVue Capture intervient essentiellement dans le domaine du BTP comme présenté  ci-dessus mais peut être utilisé pour les banques et les assurances pour la prise d’images 360 et de mesures.

Présentation de SkyVue Access
Présentation de SkyVue Access

SKYVUE ACCESS QU’EST CE QUE C’EST ? L’application SkyVue Access est une plateforme web créée pour répondre au problème de suivi de projets que rencontre souvent les propriétaires de chantier en Afrique. Elle aide à pallier au manque d’informations et de transparence lié aux projets de construction en ceci qu’elle donne une visibilité sur toutes les étapes du projet en tout temps et en tout lieu./dans un soucis de faciliter le suivi des projets pour les propriétaires de chantiers leur permettant ainsi de voir et savoir comment évolue leurs projets ceci grâce aux données présentent sur la plateforme n’importe où et n’importe quand. SkyVue Access a été conçu grâce aux toutes dernières avancées technologiques pour vous apporter fiabilité et efficacité. COMMENT FONCTIONNE SKYVUE ACCESS ? La plateforme prend principalement en compte 2 types de projets : les projets télécoms et les projets génie civil et 2 types d’utilisateurs : les entreprises et les particuliers. Projets génie civil Ici, particuliers et entreprises ont la possibilité de créer des projets qu’ils pourront suivre en temps et lieu voulu. Dans le cas d’une entreprise elle créée un compte compagnie ou elle enregistrera tous ses projets en tant que tel. Les projets sont classés en section et sous sections qui correspondent à des bâtiments ou des niveaux. On peut insérer des plans par niveau et sur ces plans faire des annotations telles que l’ajout des tags de pièces, des tags de mesure ou des commentaires. Un tag est un point qui donne des informations sur une pièce a l’aide d’images, de vidéos et d’images 360. L’objectif étant de collecter les plus de données sur ladite pièce en faisant une capture a ce tag plusieurs fois dans la même position en vue de monter l’évolution de la pièce ce qui permettra pour un tag d’avoir différentes images à différentes dates donnant à l’utilisateur la possibilité de faire une comparaison avant après de son chantier et avoir des 360 et 3D lui permettant de se balader dans son projet d’une pièce a une autre, d’un étage a un autre et voir le rendu même à distance. Les tags de mesure aident à prendre les mesures des murs, des sols, du plafond, des portes et fenêtres etc… et aussi de faire l’estimation de matériaux car, un des volets de l’application est de pouvoir faire une sorte d’audit sur les matières premières utilisées afin de s’assurer que la quantité de matériaux demandées correspond à la quantité utilisée sur le projet pour se faire on compare le devis des matériaux avec ceux sur le terrain. La plateforme est utile pour le porteur de projet qui n’est pas forcement sur place pour suivre l’avancement des travaux et doit s’en remettre au chef du chantier et ses ouvriers. Ce sont ces derniers qui rentrent les données dans SkyVue Access en passant par l’application SkyVue Capture. Les projets créés sur SkyVue Access sont géolocalisés de telle sorte que, la personne sur le terrain ne pourra prendre des données avec SkyVue Capture que si elle est dans le périmètre du projet ceci pour s’assurer de la véracité et la fiabilité des données.  Projets Telecom En ce qui concerne les télécoms, seules les entreprises peuvent y créer des projets leurs permettant alors d’avoir une vue d’ensemble sur leurs tours. Généralement, il y’a des antennes de différents opérateurs sur les tours ; donc on permet à une entreprise de voir le nombre d’opérateurs présents, la superficie qu’ils occupent, consulter et inspecter ses tours et savoir le poids des antennes par tours, avoir la localisation de ses tours sur une carte (c’est à dire ou est ce qu’elles sont situées dans un pays une province ou une ville donnée). Aussi, la plateforme permet de voir et évaluer l’étendue et le type de dégâts que peut avoir subi une tour et ses antennes au fil du temps. Par exemple la peinture qui se dégrade, des fils coupes de la rouille, des nids d’oiseaux. Lorsqu’on fait une inspection sur une tour télécom on signale tous les problèmes qu’on y retrouve et on les note comme archives. Cependant il ya des problèmes qui pourront perdurer dans le temps. Ainsi, lors des prochaines inspections de la tour on vérifiera que le problème signalé précédemment a été résolu ou alors s’il s’est aggravé. C’est donc ce type d’informations qui sera mis à jour à chaque inspection jusqu’à ce que cela soit clôturé. Si un problème perdure dans le temps, un niveau de sévérité lui est attribué en fonction de la gravité. L’objectif ici étant de permettre à la personne en charge du suivi de savoir où sont situées les tours, quels sont les problèmes qu’il faut gérer et quel est son niveau d’urgence, grâce aux données collectées (image tours 3D) et avoir à la fin un rapport global. LES DOMAINES D’INTERVENTIONS DE SKYVUE ACCESS SkyVue Access intervient comme énoncé plus haut dans les domaines du BTP et des télécommunications mais aussi dans le domaine des inspections à proprement parler pour les bâtiments dont on veut évaluer le niveau et le type de dégradation et déterminer les rénovations à faire à des endroits difficilement accessibles par l’homme sur des bâtiments très hauts. Elle intervient aussi dans le domaine de la banque étant donné que ces derniers octroient des prêts à des personnes ou entreprises pour des projets de construction, et ont besoin de faire un suivi pour s’assurer que l’argent versé est bien utilisé pour le dit projet et non injecté ailleurs. Donc le suivi que leur offre Access leur permet de savoir quand débloquer les fonds pour le déroulement d’un chantier. Notre équipe va sur le terrain collecter les informations que les banquiers les étudient sans avoir à se déplacer et s’assurer que le projet évolue comme prévu. Access intervient aussi dans le domaine des assurances dans le cas d’incendie, dégât des eaux ou autres sinistres. On fait une prise de vue 3D pré et post sinistre de l’endroit assuré ou à assurer ; ce qui sera utilisé pour les enquêtes par des experts en sinistre dans le cadre de leur audit.Retrouvez SkyVue Access sur PlayStore et AppStore.